mai

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Comme ce funambule imaginaire qui aurait laissé ses chaussures devant l'opéra, c'est le yoyo permanent : les nuages peuvent tout transformer en gris, le lendemain le soleil se chargera de redonner des couleurs partout en ville. Chacun son tour, de toutes façons les deux ont du charme.
De quoi perdre la tête…

A bien y regarder, on peut entendre certaines photographies silencieuses nous parler. Intimes, floues, souvenirs de vacances ou du passé, elles nous parlent à leur façon comme des reflets de sensations. Quelques unes, plus artistiques, nous ravissent sensiblement. On se rend alors compte qu’elles peuvent aussi nous raconter de nouvelles histoires. En nous interpellant, elles entrent en résonance avec nous-mêmes.
Pleurer, sourire, s'évader, s’émerveiller, elles sont une fenêtre indispensable qui s'ouvre sur notre quotidien. Elles tendent l'échelle de nos imaginaires pour passer d’une âme à une autre…

C'est le yoyo permanent et le cinquième mois vient de passer.

De nouvelles rues s'offrent à moi. De nouvelles découvertes posent devant mon objectif. Un clic et l'histoire continue …
L'hiver est probablement en train de ranger ses affaires. Place à une nouvelle vie l'espace de quelques mois.
Comment sera cette ville au printemps ?

Tout cela est vivant. Je me sens vivant !

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